Simple cravache

A l'heure convenu elle se présente à l'entrée du salon. Les lanières de cuir de ses talons courent le long de ses pieds et remontaient jusqu'aux chevilles, clochettes au bout des seins. Ni plus, ni moins.

Elle s'approche de la cheminée d'une démarche un peu gênée, maîtrisée. Son corps luit à la lumière des flammes ; comme prévu, son corps est entièrement huilé. Superbe.

Elle me regarda un instant puis s'installa à quatre pattes sur la table basse, le regard fixé au mur. Je me lève et fait le tour de la table afin d'apprécier la position, son corps. Ses lignes se découvrent à mon regard. Les mains posées à plat sont parfaitement symétriques et alignées à ses jambes. Les clochettes, figées, comme son corps, laissent entrevoir la pointe des tétons, cachés derrière ses bras. De derrière, son dos file en courbe douce jusqu'à ses cheveux ; la tête est haute, droite. J'admire ses fesses.

Du bout de la cravache, entre les cuisses, je demande un écartement supérieur. Elle s'exécute. Je remonte vers les 2 clochettes et les fait tinter doucement. Bouche entrouverte elle attend maintenant son bâillon. Mais je fais un peu durer ce moment magique avant de débuter. Un peu de patience. Je glisse sur ses épaules et descend son dos qui frissonne. Je me retiens d'une caresse de la main, poursuivant jusqu'en bas. La pointe de ses talons touche seule la table, laissant l'impression de pieds en extension. Son ventre trahit sa respiration : il apparaît et disparaît sous ses hanches, justes éclairées par les flammes.

Je suis prêt, elle aussi. Le bâillon-boule installé, je pose la cravache au point de frappe du 1er coup. Et frappe. Le cuir claque sur la fesse. Elle ne bronche pas. Un second, même endroit, puis un troisième, jusqu'à 5. Les suivants en différents endroits de ce corps, imperturbable. Parfois un gémissement étouffé. Seuls, les tintements des clochettes et le crépitement du bois dans la cheminée rompent le silence.

La peau rougie au bout de quelques minutes, fesses d'abord, cuisses ensuite. Son dos se creuse progressivement, au fil de la douleur qui se diffuse, s'offrant un peu plus à cet objet qui l'attire mais dont elle voudrait qu'il s'arrête. De courts gémissements accompagnent maintenant chacun de mes coups. Ses muscles se contractent, se détendent. J'alterne avec des moments de caresses.

Elle baisse la tête, respire plus fort au travers du bâillon, moi aussi. Je précise mes coups sur ses mollets rebondis. Le tour s'achèvera bientôt. Elle écarte un peu plus les jambes et pose les épaules sur la table, elle est prête.

Son sexe humide lubrifie le plug que je lui glisse dans l'anus. Je sens la chaleur de la cravache s'échapper de sa peau. Entrée, sortie, ses gémissements de douleurs se transforment en plaisir. Simple guide silencieux de son plaisir, je regarde ses yeux fermés. Je tiens sa cheville en main. A chaque entrée, ses pieds se lèvent de la table, puis retombent.

Je laisse le plug en elle et la pénètre jusqu'à notre jouissance.