Le dîner, mon maître, et moi
Lorsque nous sommes seuls à la maison, nous préparons souvent le diner ensemble. Chacun notre tablier, seulement un tablier.
Les deux sont ouverts sur les fesses afin que l'autre puisse profiter pleinement du moment à loisir des regards qu'il jette. C'est terriblement excitant.
Ce soir, en accompagnement du tablier, je porte les neurones Louboutin qu'il m'a offert l'année dernière, lui est pieds nus. Le repas est prêt et nous terminons d'installer la grande table en bois du salon en sirotant un verre de vin. Les bougies sont allumées, les différents ustensiles de nos jeux, posés également en bout de table : je sais ainsi à quoi m'en tenir.
Et cela commence immédiatement.
« Es-tu prête ? »
« Oui maître ». Je me place en bout de table, mains sur la tête. Ses mains passent sous le tablier, parcours mes fesses, saisissent mes hanches et me tirent en arrière, m'obligeant à me coller à lui. Je sens son sexe en érection au travers du tissus. La mise en bouche, c'est moi. Ses lèvres se posent dans mon cou pendant qu'il défait les nœuds de mon tablier qui tombe à mes pieds, le sien suit ; sans attendre il me repousse vers la table, me force à écarter les jambes avec sa cuisse et me pénètre. Il cramponne ma peau, des coups appuyés, qui ne tardent pas à le faire jouir. Un long soupir de plaisir, de bien être, nous sommes prêts pour diner maintenant !
Je dîne nue, lui également.
Avant de partir chercher l'entrée, il place sur le banc le premier gode dong. Avant de pouvoir m'asseoir, je dois le lubrifier généreusement. Pendant que je m'affaire, les entrées arrivent. Il s'assied en face de moi, profiter de mon empalement. Une fois positionnée sur les premiers centimètres, je lève les yeux vers lui et glisse doucement sur l'engin jusqu'à poser les fesses sur le banc.
J'aime ces dîners dans le plus simple appareil ; ils sont l'occasion de se regarder plus en détail, de discuter sensuellement.
En fin d'entrée, débarrassage. Je me caresse le clitoris en même que le dong luisant sort. Mon maître le récupère et pose un second, plus gros. Pendant qu'il retourne en cuisine, je le prépare à me recevoir. Il y en aura 2 autres, jusqu'au dessert. Je patiente ensuite debout à côté, en attendant que mon maître se rassoit pour apprécier le spectacle. L'excitation aidante, il n'a aucun mal à me pénétrer. Sa forme noire parfaitement lisse se frayent un chemin en moi, écartant avec fermeté mes parois jusqu'au fond.
Le plat. Nous poursuivons nos échanges de regards, de rires. La tenue du corps doit être impeccable et je me fais violence pour rester droite avec des gestes sensuels et mesurés. Chaque mouvement d'avant en arrière pour me servir de vin, de pain, d'un plat me rappel immédiatement à ce qui se trouve en moi ; et je me prends parfois à pousser de petits cris de surprise, de plaisir. Il sourit chaque fois en me regardant.
« Il faudra que j'essaye un jour ».
Je mets un peu plus de temps avec le troisième gode, plus imposant. Je monte, descend, remonte, redescend plusieurs fois avant de pouvoir complètement m'asseoir sur le bois. Pas plus long, juste plus gros. J'ai véritablement l'impression d'être empalée sur un pieu. Afin que j'apprécie au mieux le fromage, mon maître m'attache les chevilles au banc, de façon que je ne touche plus le sol. Le dong s'enfonce un peu plus, chaque mouvement se répercute immédiatement au fond de moi. Au passage, je prends 2 claques sur les fesses pour une tenue moins rigoureuse, méritée.
Il bande, en retournant s'asseoir, son sexe libre s'affiche vulgairement mais ça m'excite. J'ai envie de le sucer, attendre le dessert, peut-être.
Le second verre de vin fini de nous détendre. Avant le dessert, il se lève de table et passe de mon côté. Il pousse le banc et m'attache les cuisses sur les côtés pour bien les écarter, ligote mes poignets dans le dos. Ainsi ouverte il entreprend à genou de me lécher le sexe jusqu'à ce que je jouisse ; comme lui je ne tarde pas à lâcher mes cris de plaisir et ma jouissance sur son visage.
Il prend ensuite un moment pour nous rafraîchir avant d'aller préparer le dessert sans me détacher. Je patiente donc.
« En dessert, Glace, Chantilly, et toi ! » me lance-t-il. Avant de me libérer, il prend soin de poser le dernier Dong au milieu de la table.
« Montes sur la table à quatre pattes le préparer avec ta bouche, ensuite tu le mets en toi et tu t'allonges que je puisse me servir de dessert ».
Je m'exécute, trop contente de changer de position. Avant qu'il ne rasseye je regarde son sexe, toujours en érection.
La posture est humiliante, le cul en l'air, je lèche et suce l'énorme gode comme j'ai envie de le faire avec le sien à cet instant. Un peu obscène volontairement. Mes fesses claques pour me rappeler de faire avec classe, retenue. Je corrige le tir immédiatement.
« Tu peux y aller maintenant ».
Accroupie face à lui, je fais entrer en moi le dernier membre. Il regarde avec délectation le noir disparaître dans mon sexe, m'assistant de ses doigts par des caresses. Je m'allonge ensuite sur le bois clair pendant qu'il replace les chandeliers pour une lumière plus intime.
Deux boules de glaces vanille/framboise sur les seins, citron juste au-dessus du sexe écarté par le gode. Une noix de chantilly sur mes lèvres qu'il vient sucer en m'embrassant. Je ne bouge pas. Je ne dois pas bouger. Les boules de glaces commencent à fondre lentement et dégouliner sur ma peau. A chaque respiration, le citron glisse ses gouttes froides sur mon clitoris. Le long de la courbe des mes seins, je sens le liquide sucré s'écouler. Un sentiment horrible d'impuissance, mais aussi de plaisir. Je m'abandonne à cette dégustation.
Cuillère et langue, mon maître se sert à souhait. De temps à autre il se lève, rajoute de la chantilly sur ma bouche et y pose la sienne pour l'avaler.
Le dessert terminé il se lève, retire le gode et l'observe un instant avant d'aller le poser sur la table basse au coin du feu, pour un jeu ultérieur sans doute.
« Tu peux te lever de la table, mets-toi à quatre pattes pour un tour.
« Oui maître ». Le collier, la laisse et nous sommes en route pour une visite du salon, puis de la terrasse. Il cherche l'endroit idéal pour poursuivre. Appliquée dans ma progression, je le suis jusqu'au transat où il s'allonge.
« Le dessert est servie » me dit-il avec son sexe en érection. Je m'agenouille à ses côtés et lèche son membre comme une glace.
« Viens », souffle-t-il. Je peux enfin monter sur lui et prendre mon dessert.