Humiliation nature
Nous marchons depuis un moment sur la route, fermée depuis plusieurs années à la circulation mais encore accessible aux vélos et piétons.
Il n'y a jamais personne, nous y venons donc de temps à autre, lorsqu'elle souhaite être humiliée en pleine nature sans (trop) de risques.
C'est la fin de journée, le soleil descend doucement en même temps que les virages de la petite colline. Après la forêt, des champs immenses se dévoilent face à nous. Je la suis, pour faire quelques photos du paysage, avec elle.
Les mains attachées dans le dos, entièrement nue, elle porte ses hauts talons d'un pas ajusté faisant ressortir les muscles de ses mollets. Une courbe que j'ai envie de croquer chaque fois que je la vois. Ses hanches ondulent légèrement, magnifiques à l'air libre de ce soir. Je la laisse s'éloigner encore de quelques mètres, sa nudité s'inscrit dans ce paysage comme un mystère, une question.
Elle est belle, sans doute aux abois et excitée de ce qui pourraient la surprendre en cet instant de liberté mais aussi, d'humiliation totale.
Je la rejoins, détache ses mains et lui accroche sa laisse autour du cou, elle sait maintenant que quand elle se sentira prête, elle pourra demander à être fouettée. Il lui reste à choisir le lieu de son tourment : autour d'un tronc, à genou au milieu de la route, face à la plaine qui s'ouvre devant nos yeux, près d'une barrière.
Nous marchons quelques pas, elle pose ses mains sur tête, enlève ses chaussures et s'agenouille à même le goudron encore tiède de l'après-midi. Le moment est venu.
Les lanières du fouet lui rougissent la peau sans ménagement, elle lâche ses cris qui se perdent dans le vent, libérée de ce silence de la nature qui nous entoure. Le compte y est, 20. Son souffle s'apaise, elle se penche vers l'avant, bras étendus au sol, cul offert. A mon tour de m'agenouiller, derrière elle, Mains caressantes, baisers de cet anus que je vais pénétrer. Je claque à nouveau sa peau de ma paume et entre ma langue profondément, un petit cri de plaisir s'échappe. Entrée, sortie, je lèche jusqu'au sexe et remonte sur sa raie. Son dos se creuse, j'attrape ses chevilles qui remontent sous la pression de mon visage qui pousse ses fesses, comme pour mieux la sentir, m'enfoncer en elle.
Elle jouit, et moi avec elle.