Le canapé

Le canapé double du salon est un excellent support de bondage lorsqu'il veut me punir ou me faire profiter visuellement des jeux auquel il s'adonne sur moi. Installée jambes écartées et relevées vers le dossier, fesses au bord de l'assise, je m'offre à lui tout en ayant une vue directe sur mon sexe. Confort.

Epilation, cire, fouet, fisting. Ainsi positionnée, il m'oblige à regarder les épreuves qu'il m'impose.

Aujourd'hui il finit d'étirer mes jambes sur chacun des accoudoirs du canapé et lie mes chevilles derrière le dossier. Presque en écart. Je le regarde faire avec excitation.

Il s'agenouille face à moi, prends quelques photos puis me claque violemment l'intérieur des cuisses. Je pousse un cri de surprise mais il plonge son visage vers ma chatte et démarre une série de baisers doux tout en maintenant ses mains posées à l'endroit de la claque. Je sens ses lèvres chaudes et douces picorer ma peau. Bras croisés et attachés dans le dos, je regarde avec délectation mon maître me faire du bien. Ses baisers se rapprochent de mon vagin, je sens bientôt sa langue sortir. Elle se fraye un chemin entre mes lèvres. Il recueille le fruit de mon excitation qui se mélange à sa salive et coule entre mes fesses. J'ai fermé les yeux, la tête rejetée en arrière. C'est le moment qu'il choisit pour stopper sa progression, la mienne également ! Je tends les jambes et les pieds et pousse un petit grognement de mécontentement, de frustration. Il est déjà à lacer une cordelette autour de mes cuisses pour y accrocher deux pinces. Il tire et mes lèvres écartelées découvrent largement mon clitoris. Lèches-moi maître, lèches-moi. Il écarte les bras vers le haut de mes jambes et les griffe jusqu'en bas avant de replonger sa langue, je hurle de plaisir. Il poursuit et je jouie quelques instants plus tard.

Je reprends ma respiration, toujours contrainte. Il détache les pinces et me caresse de la paume de la main le sexe. Fisting ? Oui sans doute, mais lequel ? Aujourd'hui, les deux m'iront.

Je le regarde choisir, ses doigts passent et repassent, hésitent. Je pousse mon anus, le choix s'oriente.

Il saisit le dong et le lubrifie sur mon sexe encore ouvert. Sans difficulté, le beau membre noir entre en moi jusqu'à la garde. Mon maître se recule et se pose sur la table basse ; nos regards se croisent, ses yeux brillent de plaisir et moi d'amour. J'adore ces instants où il me contemple, offerte à son regard, obligée d'accepter. Il se lève et m'embrasse le pied avant de descendre ses mains le long des muscles tendus de ma cuisse. Il reprend le dong, quelques allers-retours qui ravivent mon excitation, je souffle, le plastique dur rentre dans mon cul, il tourne, tire, pousse, parfois ressort complètement pour mieux rentrer. Enfin ces doigts prennent le relais. D'abord deux, puis trois. Je me détends et accepte cette intrusion. Son pouce élargit mon intimité un peu plus, je sens qu'il vient, qu'il entre avec son poing. Ses doigts cherchent à me caresser, un peu plus loin. Il y est, la paroi se referme naturellement. Les instants qui suivent sont toujours confus, jouissifs. Je regarde cette main en moi qui entre et sors doucement, puis je ferme les yeux et le mouvement s'accélère légèrement jusqu'au moment où son autre main se pose sur mon sexe et presse mon clitoris dans de petits mouvements circulaires. Je jouie encore une fois.