Mes anneaux
Je ne les garde pas tout le temps sur moi, cela dépend des jeux et de mon état d'esprit. Avec le temps et la complexité entre mon maître et moi, il sait quand je les porte ce que cela signifie.
Il ne voulait pas. Douloureux il lui semblait. Mais mon souhait de me faire percer les tétons m'excitait au plus haut point et je voulais, au-delà des tenues, disposer d'un bijou adapté à ma condition : celle de soumise. Lorsque je passais les anneaux, j'étais réduite à ma condition de soumise, d'esclave dont mon maître se devait de profiter.
Lorsque c'était pour moi le moment, je venais me poster devant lui, m'agenouillais tête baissée, pieds et torse nus, mains dans le dos. Il connaissait la signification et allait chercher dans leur écrin les 2 anneaux d'or qu'il m'avait offert. A son ordre, je les passais et reprenait ma position, en attente. Je devenais ainsi non plus sa soumise, mais son esclave. Une condition nécessairement plus avilissante, plus humiliante, plus disponible pour mon maître. Je m'abandonnai un peu plus, le temps d'un moment et je lui faisais savoir.
Souvent il me passait un collier et une laisse, me demandait de me déshabiller complètement. Nue, à quatre pattes, il me promenait quelques instants avant de m'attacher par les anneaux à la table ou la porte, le temps de réfléchir à ce dont il avait envie. Je restais debout face au meuble, les seins tendus et les tétons étirés, à attendre mon tourment. Il m'arrivait de porter les anneaux sous un chemisier ou un tee-shirt, en journée, comme ça, pour les suggérer aux autres, mais surtout pour les sentir et m'exciter toute seule à l'idée que je serai une esclave le soir.
La cuisine était l'un des tourments qu'il me proposait régulièrement. Nous nous y mettions à deux. Moi dans ma tenue, lui avec cravache, chaînes et autres objets qui allaient m'être appliqués tout au long des préparatifs. J'adorais !
Il commençait par bondager mes seins à la façon de poires ; l'afflux de sang que cela provoquait rendait plus sensible encore mes tétons, sans être trop douloureux. Je devais prendre ma culotte en bouche et la conserver. Des chaînes contraignaient mes mouvements de bras et de chevilles. Pouvaient alors démarrer l'atelier cuisine sous son regard amusé. Il me caressait, il me cravachait, je ne disais rien et m'affairais sans broncher, exécutant docilement ce qu'il ordonnait. Seins écrasés sur le marbre du plan de travail, jambes écartées à me faire prendre, à genou à la sucer ou allongée sur la table en bois du salon pendant qu'il me léchait le cul et le sexe. Tout venait sur ordre, à faire immédiatement.
Lorsque c'était prêt, je le servais à table, puis nous dinions ensemble ou lui seul. Je pouvais alors servir de divertissement : allongée sur la table à me caresser devant lui, jeu de bougies sur ma peau ou à genou sous la table à lui baiser le sexe.
Le dessert était toujours le même, il m'emmenait
toujours à quatre pattes dans la chambre, je m'installais sur le lit et il me
bondageait complètement de sorte que je ne puisse plus bouger en ayant pris
soin de me mettre 2 œufs vibrants. Je restais seule une bonne demi-heure avant
qu'il ne me rejoigne et finisse avec ses doigts puis son sexe le travail engagé
par mes amis les œufs. Je suis son esclave et je le veux.